Le 22 novembre prochain (sortie nationale du film), le fameux agent de sa très gracieuse Majesté, sous les traits de Daniel Craig, nous entraîne à nouveau dans un tourbillon d’aventures aux quatre coins de la planète. Gadgets high tech, escadron de jolies filles pimentent plus que jamais cette nouvelle mission de l’agent 007.
Dirigé par Martin Campbell, produit par Michael Wilson et Barbara Broccoli ce nouveau film « Casino Royale » nous présente James Bond à ses débuts avant qu’il n’ait reçu le permis de tuer. Il incarne déjà l’élégance « so british » indissociable de l’Aston Martin, du Walter PPK et bien évidemment du Champagne Bollinger.
Depuis 1979, date de la première apparition de Bollinger dans un film de James Bond (Moonraker), le célèbre agent 007 a toujours été amateur de ce grand champagne, quel qu’ai pu être son interprète, de Sean Connery à Roger Moore, Timothy Dalton, Pierce Brosnan ou aujourd’hui Daniel Craig.
Dans chaque film, l’agent secret s’accorde un moment de répit avec une créature de rêve pour apprécier son champagne favori, qu’il s’agisse d’un Bollinger R.D 73 dans « Moonraker », d’un R.D 75 dans « Permis de Tuer » d’une Grande Année 1988 dans « Goldeneye » ou 1989 dans « Demain ne Meurt jamais », et enfin d’une Grande Année 1990 pour « Le Monde ne suffit pas » et « Casino Royale ».
Bollinger bénéficie du Royal Warrant de la cour britannique depuis 1884, date à laquelle la reine Victoria a choisi ce champagne pour le plaisir de la Couronne.
James Bond n’est-il pas le plus fidèle sujet de sa majesté ?
Ils ont su incarner ensemble à travers de nombreux films un certain style fait de rigueur et de plaisir, de réussite et de secret.
L’ABUS D’ALCOOL EST DANGEREUX POUR LA SANTÉ. A CONSOMMER AVEC MODÉRATION.
Remerciements : Marie-Catherine Gault
© MEDIA BIS / 2006
Ne pas reproduire sans autorisation préalable.